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Soirée spéciale avec Clélia Nau : Machine-aquarium et Feuillages

Date : 24/11/2021 à 18 heures et 20 heures

Lieu :

Librairie Descours - Lyon

 

FEUILLAGES. ART ET LES PUISSANCE DU VEGETAL

MACHINE-AQUARIUM. CLAUDE MONET ET LA PEINTURE SUBMERGEE


par Clélia Nau

 

Mercredi 24 novembre 2021

Librairie Descours
31 rue Auguste-Comte 69002 Lyon

 

 

Soirée spéciale avec l'historienne de l'art Clélia Nau :

18h : présentation de Feuillages. L'art et les puissances du végétal (Hazan éditions)

19h15 : Encas / buffet (participation de 6 euros par personne)

20 h : présentation de Machine-aquarium. Claude Monet et la pleinture submergée (Métispresses éditions)

 
 
Réservations indispensables :
info@librairie-descours.com
 
 
 
 
A propos de Machine - Aquarium :

C’est un étrange diorama liquide qui enveloppe le visiteur des Nymphéas de l’Orangerie, confronté à cette eau de pigments comme au pan vitré d’un aquarium. L’aquarium, c’est cette machine à voir autrement, où les choses vont comme en apesanteur et flottant, et qui inspire aussitôt par la nouveauté de son spectacle la peinture et le cinématographe naissant.

Perçu par les artistes, les philosophes et les écrivains de la fin du XIXe siècle comme un dispositif «mental» ouvrant sur les profondeurs de l’âme, frayant avec ce qu’on commence tout juste d’appeler l’inconscient, l’aquarium est une véritable clé qui permet de repenser tout l’œuvre tardif de Claude Monet.

À l’instar d’un Proust ou d’un Bergson, le peintre des Cathédrales et des Nymphéas s’est engagé dans des relations bien plus intimes, bien plus complexes qu’on ne l’a dit, avec le rêve, l’interrègne, la mémoire et la durée.

 

 

 

 

A propos de Feuillages. L'art et les puissances du végétal :

Il était urgent de redonner voix aux feuillages, longtemps relégués aux marges de l’art. Cette forme à la fois volatile et détaillée, massive et foliacée, a dans les images un mode d’existence aussi captivant que déconcertant. Elle a besoin, pour être, d’absorber l’air, de synthétiser la radiation solaire. Elle fait du « bruit » et, douée d’une irrépressible vitalité, elle tend à proliférer. Quelle sorte de regard les peintres, mais aussi les photographes et les cinéastes ont-ils porté sur ces feuillages ? Quelle fonction leur ont-ils assignée ? Par quels moyens ont-ils saisi l’invisible même : le bruissement du vent dans les feuilles, les forces muettes et mystérieuses de la croissance, du bourgeonnement et de la germination ? Richement illustré, cet ouvrage traque les puissances du végétal au plus près. Il nous invite à considérer les oeuvres autrement, selon un point de vue non plus exclusivement humain, à réintégrer dans l’analyse des images ces moments de trouble, de grâce et d’intensité. Au fil des pages, se constitue ainsi une nouvelle « écologie des formes » qui ré-enracine l’activité créatrice dans l’énergie même du vivant.